L'Argentine, le pays ou les chiens sont Rois ! Suite
Actualité publiée le 30/08/2015
En ville comme à la campagne, chacun a son territoire et tout se passe bien.
La vie en meute a ses règles et j’ai assisté à une scène intéressante : Un sac de reste de nourriture était au sol. Un chien est arrivé, prêt à attaquer son repas, un deuxième est venu et à sa posture le premier s’est reculé pour lui laisser la place. Un troisième est arrivé à son tour en roulant des mécaniques pour s’attribuer le butin mais celui qui avait commencé à se nourrir a montré simplement les dents pour calmer les ardeurs de l’intrus. Le premier et le dernier ont attendus sagement couchés à 2, 3 mètres le départ du dominant. A son départ, le premier sur l’affaire c’est avancé pour finir les restes mais le 3ème lui a fait comprendre qu’il devait encore patienter. Lorsque le premier Perro s’est retrouvé seul, en s’approchant du sac, il n’a pu que constater qu’il n’y avait plus rien !
Toute cette action s’est passée sans la moindre bagarre.
Bien que nous étions en hiver, il faisait 20, 25 degrés, pourtant, les chiens de ville qui avaient des maîtres portaient souvent un manteau.
Le revers de cette liberté de los Perros est qu’au cours de notre voyage nous avons vu beaucoup de chiens victimes d’accidents de la circulation. Mais cette « libertad » ne vaut-elle pas ce risque ?
Allez ! Si la réincarnation existe, c’est quand même en Perro Argentin « libre » que je souhaite être réincarné.
Hasta luego
retour
La vie en meute a ses règles et j’ai assisté à une scène intéressante : Un sac de reste de nourriture était au sol. Un chien est arrivé, prêt à attaquer son repas, un deuxième est venu et à sa posture le premier s’est reculé pour lui laisser la place. Un troisième est arrivé à son tour en roulant des mécaniques pour s’attribuer le butin mais celui qui avait commencé à se nourrir a montré simplement les dents pour calmer les ardeurs de l’intrus. Le premier et le dernier ont attendus sagement couchés à 2, 3 mètres le départ du dominant. A son départ, le premier sur l’affaire c’est avancé pour finir les restes mais le 3ème lui a fait comprendre qu’il devait encore patienter. Lorsque le premier Perro s’est retrouvé seul, en s’approchant du sac, il n’a pu que constater qu’il n’y avait plus rien !
Toute cette action s’est passée sans la moindre bagarre.
Bien que nous étions en hiver, il faisait 20, 25 degrés, pourtant, les chiens de ville qui avaient des maîtres portaient souvent un manteau.
Le revers de cette liberté de los Perros est qu’au cours de notre voyage nous avons vu beaucoup de chiens victimes d’accidents de la circulation. Mais cette « libertad » ne vaut-elle pas ce risque ?
Allez ! Si la réincarnation existe, c’est quand même en Perro Argentin « libre » que je souhaite être réincarné.
Hasta luego